Moi, j’aurais aimé avoir une encyclopédie comme cerveau !
Il y aurait eu des livres en quantité qui renfermeraient une matière spécifique. À l’imitation des recueils d’histoires, de géographies, de politiques mondiales, ou de sciences de toutes sortes.
J’aurais aimé qu’à l’écoute d’une conversation, je voie la référence qui apparaît silencieusement à mes yeux.
Instantanément, une analyse s’établirait entre l’énoncé et l’écrit engrangé.
Ceci a pour effet de savoir ce qu’avait mémorisé l’énonceur.