Sagesse de l'Amour – Akasha – Philosophie – Métaphysique
L’insoupçonnable défi de l’humanité ! Le défi est un objectif difficile que l’on se propose d’atteindre !
Il est également un problème que pose une situation, une personne ou une société doit surmonter.
Issu du verbe défier, il signifie en latin populaire fidare, en latin classique fidere « avoir confiance ».
Il est intéressant de constater que nombre d’enjeux ne sont ni aboutis, ni relevés.
Les bibliothèques des Mémoires. Dans le monde de la matérialité, la transmission des connaissances se notifie soit par l’oral ou l’écrit. Ajoutons aujourd’hui l’audiovisuel.
Nous savons que les paroles s’envolent, les écrits restent !
Dès lors, dans l’antiquité les personnes chargées de l’écriture de nouvelles officielles ou d’actes publics transcrivent les originaux sur divers supports. Comme l’argile, le papyrus, le parchemin, le papier.
Elles se nomment scribes ou copistes de manuscrits.
L’invention de l’imprimerie les fait disparaître peu à peu.
Le temps s’évoque …
Socrate énonce : le temps est la seule chose au monde que n’importe qui connaît et éprouve. On ne peut ni le voir, le sentir, le toucher, le diriger, le modifier, le définir. Il devrait être interdit d’en parler.
Néanmoins…
Laissons le Temps s’évoquer…
Il se dit « que le temps file vite ! ».
Vivre dans l’espace serein. Il fut un temps où vous évoluiez dans une ambiance féérique de douceur, de quiétude, d’imperturbalité. La Joie régnait dans l’atmosphère, ravissement, enchantement perduraient. Ces époques sont très lointaines, néanmoins toute l’humanité a vécu cette réjouissance.
La béatitude s’est incrustée dans vos mémoires, dans vos cœurs, dans vos cellules.
Cette ivresse vous manque, vous la cherchez constamment.
Petit à petit, un autre cycle vint à votre rencontre. Celui de la descente dans les profondeurs des constitutions matérielles. La bonne humeur disparut au profit du désenchantement. Vous en fûtes surpris ! Ne comprenant pas ce changement d’ambiance, attristés vous êtes devenus, les chagrins remplacèrent la gaieté d’avant.
Saviez-vous que la saga des calendriers gère notre temps ? Il y a quelques mois, au cours d’une conversation avec une amie éthiopienne, j’appris que son pays était en l’an 2012. Ma surprise me figea l’espace d’un instant dans l’étonnement. Le cours du temps n’est pas le même pour tous.
La poursuite de renseignements dont elle me faisait part me remit dans le mouvement du partage, laissant de côté, cette nouvelle insoupçonnée. Aujourd’hui, en cette fin d’année, j’introduis dans ma conception de période, cette information reçue quelques jours plus tôt. L’occasion de ce changement m’amène à l’approfondir.
Aujourd’hui, nous allons aborder le rêve, nous disent les Maitres Akashiques.
En soi, le rêve est magique. Il vous offre des probabilités à exister dans des contextes différents au-delà de ce que vous pouvez imaginer. En général, ces possibilités vous les vivez dans des dimensions autres que celles de la Terre. Bien souvent, le rêve devient une ambivalence, du fait que son accessibilité à la compréhension n’est pas évidente. Il se compose d’images, de signes, de sons ou de dialogues.
La notion d’énergie est assez floue dans les pensées puisque plusieurs mots s’emploient dans une même explication, ce qui la rend imperceptible. En physique, l’énergie est une grandeur précise, définie, quantifiable et mesurable. Elle peut être cinétique, potentielle, thermique, nucléaire, chimique, calorique, ce qui n’est pas le cas dans le domaine spirituel. Acceptons les différences d’études qui n’entachent ni les unes ni les autres, puisque nous sommes à même d’appliquer le discernement de ce qui nous convient ou non.
La Terre Intérieure. Le Souffle de l’Esprit énonce. Dans le cosmos, J’exprime ma création dans différentes galaxies sous la forme de corps célestes représentés par des planètes dont la Terre, dénommée boule bleue. L’existence s’y incarne en l’expression de divers règnes, minéral, végétal, animal. L’Homme participe à son rayonnement lors de ses incarnations.
Il ne vous est pas aisé de concevoir la possession d’une terre intérieure. Du seul fait que vos pieds se posent uniquement sur le sol extérieur.
