Sagesse de l'Amour – Akasha – Philosophie – Métaphysique
Cœurs tristes et yeux embrumés sont nombreux dans les rues d’aujourd’hui.
Les visages se marquent de rictus évoquant douleurs ou dépits.
À chaque fois, que je rencontre ces expressions, je leur souris !
Leurs mirettes me fixent intensément sans comprendre le pourquoi !
J’accentue la pétilliance de l’iris. Sa lumière vient les caresser.
Sous l’effet de ce câlin paisible, les lèvres s’étirent à leur tour.
Annick de Souzenelle. Le baiser de Dieu. Mes amis, vous venez d’apprendre mon départ pour une terre nouvelle, celle que j’ai toujours portée en moi.
Son nom : Connaissance de l’Amour.
Je l’ai étudiée de différentes façons, afin d’avoir un aperçu de sa Grandeur.
J’ai cheminé durant toute mon existence, sans trop savoir où ce voyage me mènerait.
La confiance s’est imposée à moi, comme une mère bienveillante qui m’accompagnait à chaque découverte.
Le parcours fut long et semé d’embûches.
À l’écoute de paroles musicales. Lorsqu’une personne vient à vous en vous dévoilant certaines parties de sa vie, c’est toujours un honneur que de recevoir son précieux vécu.
L’expression libre de sa pensée, de ses paroles, de ses actions !
Dans ce cas présent, s’installer dans le recueillement de son écoute, sans juges ni procureurs qui souhaiteraient intervenir dans l’audience.
La Vie Est Éternelle ! Tout Est Vie, l’a été et le sera indéfiniment !
Pourquoi cette Vérité est-elle si malaisée à accepter ? Pour la seule raison que l’existence sur Terre est fugace ! De conséquence, elle ne se considère pas comme continue ; juste envisagée à vivre en nombre d’années. On ne sait d’où elle vient et/ou elle repart !
Pourtant, de tout temps, il se dit que la Vie Est là ; présente à chaque instant. Qu’elle anime la globalité du vivant, quel qu’il soit : humain, végétal, animal, minéral.
Vérité ? Pas estimée unanimement !
La Joie dans l’univers s’incarne constamment. Nous, Êtres de Lumière, ne concevons pas l’existence sans évoquer sa quintessence, sa gaieté, sa beauté, sa douceur, sa félicité, sa bonté. Dans le monde Sublime, savez-vous que sans elle, rien ne peut s’accomplir ? Du fait que son ravissement est le moteur d’expression à d’autres représentations. Qui elles-mêmes se réalisent à leur tour !
Son allégresse ouvre des portes à de nouvelles possibilités contrairement à la tristesse qui arrête toutes éventualités. Sans sa jovialité la Vie ne peut ni s’enfanter, ni s’expanser dans des formes multiples et offrir l’équilibre harmonieux.
L’Amour qu’Est la Force Créatrice a choisi comme principe de mouvement la Joie. Elle est par ce fait le moteur de la Vie. Grâce à elle, tout est entraîné dans son chant mélodieux de plénitude. C’est ainsi que les Êtres sont préposés à « Être-Jovial ». Ils sont la Joie de l’existence.
Dans les hauteurs du mouvement de la Vie, la Sérénité serait-elle monotone ? De telle sorte que le ‘moi’ décide de connaître les péripéties, les frénésies des profondeurs terriennes ! Le manque de variétés, sans imprévus, sans surprises l’ennuie. Aussi, après réflexion, l’individualité part à la recherche d’égos semblables et différents à la fois.
La descente s’entreprend dans le cocon douillet d’une intermédiaire capable de le transmettre dans une futuriste atmosphère. Neuf mois nécessitent sa complète élaboration. Il éprouve sa fabrication d’organisme de chair et de sang en tête à tête.
La mort fascine depuis toujours ! De tout temps, l’Homme veut connaître les mystères de l’extinction de vie.
L’arrêt de la réalité temporaire donne lieu à de nombreuses recherches anthropologiques. Sciences des caractéristiques physiques, sociales, politiques, religieuses, culturelles de l’être humain.
Pour ce faire sont étudiés les rites funéraires des diverses coutumes, se référant à la fin définitive de l’existence du terrien. Ce qui lui fait dire que le concept de mort est opposé à celui de la vie de tout vivant : humain, animal, végétal ou d’un organisme biotique.
L’intrigue du pouvoir relationnel est-elle une aptitude à tisser, à entretenir de bons rapports avec son entourage ? Prenons Conscience qu’au cœur de son divertissement, sa mascarade rassemble nombre de personnes déguisées, masquées dans une mise trompeuse.
À l’intérieur de ces espaces de corruption, l’incohérence s’amplifie de plus en plus, l’agitation règne en maître dans le quotidien. Le manque de clarté intellectuelle engendre un état obscur, désordonné. De sorte que les esprits confus se perdent dans l’entremêlé des fils d’opinions, dont l’intrique s’avère complexe.
