J’imagine…. l’image de l’infinitude, elle qui n’a pas de fin, ni d’imperfection puisque parfaitement achevée en sa complétude.
Mes yeux de chair ne peuvent appréhender sa vastitude. Pour autant, en cherchant dans mes références de connaissances, deux représentations semblent correspondre à l’illimité, le ciel et la mer.
La nuit, mon regard apprécie la voûte céleste, sans pouvoir observer ni le commencement ni la terminaison de sa cape étoilée. Dans laquelle j’aime, à mon tour, m’envelopper. Ayant entendu mon souhait, ses étincelles accentuent leur scintillement afin de m’enivrer davantage de leur beauté.