Les autoportraits de la vie appelés selfies. Lorsqu’une personnalité terrienne m’invite à entrer dans sa demeure, son étonnement serait élevé, si elle savait que je ne viens jamais seule. En effet, je suis toujours accompagnée de mon observateur silencieux nommé Conscience de l’Être.
C’est pour nous, un pur bonheur d’aller visiter la composition de son monde. Étant donné que nous photographions tout l’enchaînement des images qui se déroulent au cours de son journalier. Nous accueillons les découvertes avec une contemplation accrue de ce qui, à la fois, constitue l’invitant.
Ainsi que l’environnement dans lequel il évolue. Les deux ne pouvant être dissociés l’un de l’autre, car ils s’interpénètrent.
Bien sûr, nous tenons compte de l’entourage qui vit conjointement dans cette atmosphère. Les personnes vivant dans ce foyer et l’ambiance qui y règne lors d’événements quotidiens. Puisqu’il y a interaction constante entre les différents éléments. Des surprises, des interrogations, des constatations se manifestent à chaque découverte de ce monde nouveau d’autoportraits. Et qui parfois étonne dans son étrangeté
L’anormalité se présente lors de conversations agréables
Est-ce un mot, une attitude qui change brutalement l’ambiance charmante ? Le trouble se déclenche tels des éclairs lors d’un orage. L’inconnaissance de cette turbulence se lit sur les visages des invités. Pris à témoin au cours d’altercations, dont ils ne comprennent pas l’énoncé. Puisque les querelles résultent de causes précédentes à leur venue.
Vous êtes coopté à servir d’indicateur favorable à une signalisation, dont vous n’avez pas vu le panneau danger lors de l’interpellation. L’un ou l’autre des accueillants souhaite ardemment votre assentiment. Afin d’être rassuré ou conforté de ses propos méprisants vis-à-vis de son partenaire.
C’est très intéressant de constater les contradictions qui se révèlent lors de visites. En comparaison aux selfies diffusés sur les réseaux sociaux.
Afin d’acquérir une compréhension meilleure de la situation générale de la maisonnée
Il serait nécessaire d’utiliser un objet, dont aujourd’hui les peuples attribuent une importance considérable. Le téléphone portable. Moyen de liaison qui photographie des instants par des images « les selfies ». Ils se réalisent en des circonstances et en des endroits décidés par les photographes qui les publient sur la toile internet mondiale. C’est ainsi que les portraits communiquent l’humeur et le paysage de l’internaute dans l’instant T.
L’absence des selfies est magistrale lors de disputes, de mise à l’index du lit conjugal ou de sevrage brutal de tendresse.
Les représentations photographiques devraient s’utiliser lors de la continuité des comportements journaliers. Intense serait la surprise de la cybercommunauté, de constater les dissonances de l’apparence exposée. La cacophonie fait croire que tout est constamment parfait. De conséquence, le cybernaute songe à se rapprocher des représentants de cette soi-disant harmonie !
La personnalité humaine est composée en traits noirs et blancs. Il convient de les reconnaître en toute lucidité. Gratifier en permanence sa démesure orgueilleuse élabore une vanité méprisant autrui.
Si les selfies se prenaient en continu
Ils dévoileraient l’insincérité de l’apparence précaire de l’instant présent. Les images témoigneraient des stigmates de colère sur le visage, des gestes brusques ou de claquements de portes. Les faux-semblants de sourires ou de bisous s’envolent pour se publier sur la toile avec des mentions « je me sens amoureux, heureux, passionné ». Ces masques simulés ne révèlent que l’espace fugace d’un moment et non une réalité de continuité.
Pourtant, persuadé de sa performance, le selfiste s’imagine se connaître. Inconscient de son automatisation qui le gère, il produit des artifices qu’il désire convaincants. Il élude sa faiblesse quotidienne.
Ne souhaitant ou ne voulant pas modifier les déséquilibres, dont il se plaint constamment. Le selfiste stigmatisera l’invité fautif du dérèglement de son ambiance. C’est ainsi que l’irresponsabilité ouvre grandes ses portes. Et mets en place l’éviction déstabilisante.
Quel instant selfie vit-on véritablement ?
Les Maîtres Akashiques énoncent.
L’instant suit un différent, puis un distinct et aussi un dissemblable. La minute préalable n’est plus. Et celle du devenir ne l’est pas encore. Quel moment vit-on en vérité ? Celui qui se passe précisément dans « l’instant de l’instant ». Chaque laps de temps est inimitable de celui d’avant et de celui du déroulement. Nul ne peut dire ce qu’il fut précédemment. Et ce qu’il sera dans le futur puisque l’actuel change à chaque seconde qui s’écoule.
Vivre l’instant présent exige des efforts pour être appris. Du seul fait que c’est vivre chaque seconde révolue avec contention et attention. L’application sur un seul objet a du mal à être soutenue durant l’unité de temps. Votre esprit décroche par une distraction commise. Tout est diversion autour de vous, du seul fait que la Vie s’anime et ne peut rester ni statique ni immobile.
Une concentration continue s’exige
Vous pourrez la maintenir à force d’entraînement à ce que vous faites, à ce que vous dites, à ce que vous pensez. C’est ainsi que vous arriver à observer le tout en une fraction de seconde. Votre pensée, votre parole et votre geste seront unis aux progrès et aux processus des instants de vie.
Vous serez pleinement dans l’imminent qui se présente à vous. C’est Être présent à chaque instant du présent qui propose de devenir présent.
Le Selfie n’est que l’image d’une occasion. Il n’est pas représentatif de la globalité de ce que vous Êtes.
Sous réserve de vous, selfiez en continu. (sourires)
Channel de l’Unité des Maitres Akashiques Marie Pierre AUBERT Thérapeute Holistique
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