Les racines de vos souffrances, une fatalité ? Le questionnement principal abordé par tout individu qui entreprend son cheminement intérieur est le suivant. « Comment me débarrasser de mes souffrances ? Elles m’encombrent puis me limitent dans mes possibilités. J’en ai marre de toujours souffrir. Je n’arrive à rien ».
Nous, Maitres Akashiques, entendons régulièrement ces remarques. Du seul fait que ce vieil adage se transmet par vos parents ou grands-parents. « On est fait pour souffrir, même pour être beau ou belle, il faut avoir mal ».
Les divers enseignements religieux ont ajouté à l’inconscient collectif de l’Humanité la culpabilité que l’Homme a péché. De conséquence, il doit donc « expier » en éprouvant des peines. En acceptant cet état de réalité, comme une adversité, le peuple humain se tourmente. Il vit dans l’inquiétude de châtiments.
La base du péché est d’engendrer son raisonnement sur des principes erronés. Dans le Monde Céleste, nulle transgression n’est un sacrilège. Seuls l’ignorance de la loi des causes et des effets conduisent à commettre des inconduites dont vous subissez les répercussions.
Nous énonçons « toute fatalité peut être dissoute ». Uniquement, la croyance la maintient en vie, la fait prospérer et l’amplifie. La conviction que de fâcheuses circonstances doivent se produire continue son expansion auprès des générations à venir. Toutefois, il n’est guère facile de remonter à la première souffrance de l’Homme. Dans la mesure où elle est totalement oubliée. Dès lors, elle n’existe pas dans la Conscience de l’Humanité.
Cette épreuve morale nait de « La Séparation d’avec le Un, le Tout. »
La blessure est éprouvante, douloureuse dans le cœur de chacun. Elle commence à votre naissance, lorsque vous vous détachez de votre mère afin de devenir une entité à part entière. Avant cela, vous fûtes disjoint de votre Divinité, de votre Être Céleste. Vous ne vous en souvenez pas.
Aussi, lorsque vous vous incarnez sur la Terre, vous vous matérialisez imprimé de l’empreinte. « Je me sépare de ma Déité ».
La séparation d’avec votre parent est également très marquante pour vous. Vous venez vous confronter à toutes sortes d’expériences de vies, d’apprentissages. Vous devez apprendre à devenir Humain, c’est déjà « toute une expérience en soi. »
Cet apprentissage se fera au péril de bien des faits. Ils se traduiront par des conduites d’actes posés ou non appliqués. Également de pensées, de paroles émises ou retenues. Dans l’observation de ces manifestations, vous vous découvrez vous-même, afin de mieux vous connaître. De plus, vous choisissez d’Être par rapport à vous-même, en tant qu’humain. En second lieu vis-à-vis des autres qui réalisent le quotidien extérieur. Ensuite à l’égard de votre Être Divin qui réside dans votre intériorité.
Vous faites beaucoup d’efforts en allant au-delà de vos limites, de vos compréhensions, de vos aptitudes. Tout cet apprentissage, vous devez impérativement l’éprouver pour Être ce que vous êtes aujourd’hui. Vous l’oublierez au fil du temps.
Vous souvenez-vous de vos premiers moments d’existence ?
Probablement non. Ni de la pousse de vos dents de lait, encore moins de vos premières versions de repas. Comme de votre bougie d’anniversaire. C’est ainsi que votre Vie se caractérise par l’entremise de vos expériences dans les domaines divers et variés.
Ce sont les maux physiques que vous constatez en premier lieu. Dans le style de la première chute. Votre rencontre avec le sol de la Terre. Là, le genou, les mains ou le nez s’écorchent. Votre familier vous manifeste les encouragements pour vous relever, afin de poursuivre vos pas. De la même manière que la première dent met le feu aux gencives. Toutes ces petites souffrances vous les avez subies lors de votre enfance.
Puis, vinrent les épreuves émotionnelles. La séparation d’avec les proches : mère, père, frère, sœur, grands-parents. Ou toute autre personne prenant soin de vous pour un moment. En grandissant, vous prenez le chemin de l’école. Afin de suivre un enseignement pour devenir un citoyen à part entière. Vous apprenez l’adaptation à un nouveau milieu, le système scolaire.
La progression se poursuit. Dans votre vie d’adulte, au travail, vous rencontrez les conflits, les mésententes, les contestations. À ces occasions, vous constatez les différences avec les uns les autres. Vous n’en ressortez pas indemne !
Aux souffrances émotionnelles s’ajoutent les douleurs psychologiques. Ces mésaventures vous marquent, vous blessent, vous torturent. Parfois, vous avilissent.
Quel chemin vous avez parcouru ! Que d’enseignements reçus ! Certaines fois, sans comprendre, sans rien demander. Vous dites aussi sans le vouloir, sans le penser… Sans, sans, sans… À votre détriment donc ! Qu’ai-je fait pour subir cela ?
L’éternelle question ! Ou bien, posons-la à l’Éternel.
Éternel tu Es, Éternel tu Seras !
Ah oui ! je ne m’en souviens pas !
Quel est le chemin à entreprendre, pour revenir à l’état perpétuel, qui Est Vôtre ?
Difficile de saisir l’énoncé. Incompréhensions pour certains, irréalisations pour d’autres, chimères pour plusieurs, impossibles pour la majorité, d’entre vous. Cela ne vous parle pas ! En voici la cause. Depuis des siècles, les données concernant l’existence se transmettent en tronquant les déclarations initiales. Leurs formulations falsifiées perdurent.
Il est malaisé « de modifier les Consciences ». Les faire évoluer est la partie la plus difficile à entreprendre. La masse s’agrippe aux legs propagés par les générations. Même si les résultats de ces proclamations se font au détriment de l’Humain. À tel point que les us et coutumes s’utilisent quotidiennement. De conséquence, elles s’ancrent dans les mémoires. Tels des sillons que l’on creuse chaque jour. Qu’il est pratiquement impossible d’y poser des graines d’indications !
Aujourd’hui apparait la possibilité de changer les dictons, les coutumes, les aberrations, les ignominies. La période se révèle pour opérer les changements de prise de Conscience.
Les souffrances ne sont qu’un moyen pour parvenir à une authenticité d’Être.
Les revers d’insuccès se vivent avec l’espoir d’être regardés. S’ils sont acceptés tels qu’ils se présentent. L’individu peut engager un dialogue avec le tourment afin d’en connaître le pourquoi. Puisqu’il s’exprime en lui.
Que veulent-ils vous apprendre ? Que vous disent-ils ? Les écoutez-vous ?
Non, pour la plupart d’entre vous
Si vous preniez le temps de prêter attention !
Ce n’est pas en étant dans la plainte ou la complainte que vous pouvez traverser vos épreuves. Bien au contraire, vous les amplifiez et les maintenez. Ipso facto, vous devenez votre mal. En effet, vous n’avez pas su faire la différence entre les émotions vécues et votre personnalité humaine. Vous n’êtes pas ces blessures, elles ne sont qu’une manifestation de votre déchirement de la Séparation Première.
Les émotivités ne sont que les conséquences de ce que vous n’avez pas perçu, vu, accepté. Leur expressivité n’est pas la racine de la souffrance, elles ne sont que les séquelles…
Revenez à la cause de votre tourment. La Séparation du Tout, de l’Être, de la Divinité, du Un, Unité qui forme la globalité.
Ce chemin s’entreprend par l’Humain lorsqu’il vient s’incarner sur cette Terre. Faire l’expérience de la désunion, de ce que vous nommez la dualité. En acceptant d’unifier les oppositions. C’est-à-dire accueillir le côté recto et son opposé, le verso faisant partie d’une même pièce.
Acquiescez-vous à ce que l’ombre fasse partie de la lumière ? Que l’une et l’autre soient les deux faces d’une identique énergie ? En hébergeant en vous-même vos différentes facettes ainsi que leurs polarités déséquilibrées, vous obtenez cet équilibre si difficile à maintenir. Le mouvement imperceptible et fluide de l’Amour-Vie.
C’est le grand challenge à relever pour tout être humain : accepter ses contradictions, ses contraires, ses séparations pour Être. Afin d’opter pour ce qui est le mieux pour lui, faire la sélection de ce qui lui convient. Déterminer ce qu’il souhaite éprouver, la joie ou la plainte, la reconnaissance ou la récrimination.
Tous les possibles sont à choisir
L’échantillonnage est vaste. Il est à votre disposition, vous n’avez que l’embarras de la sélection… La préférence ou son contraire… Le « non-choix » est aussi une option.
Oui, les souffrances sont un chemin d’Élévation de votre Conscience.
Vous pourrez les amoindrir en les examinant, en les approuvant, en les parcourant. Faites-en des amies ! Les douleurs viennent vous offrir les compréhensions, les connaissances que vous n’aviez pas perçues, vues, réalisées auparavant.
Regardez leur offrande. Vous serez étonné de la diversité d’informations qu’elles vous révèlent. Si vous savez les accepter avec bienveillance, avec écoute, elles vous apporteront le détachement. Le désintéressement permet de traverser les circonstances avec plus de sérénité, d’ouvertures, d’entendements. « Du pourquoi, vous deviez vivre cela ».
Sachez que la Séparation que vous vivez n’est pas réelle
« La séparation. C’est ce qui vous fut enseigné, c’est faux et contraire à la réalité ».
Vous faites partie du Tout, du Un. Jamais, jamais, vous, n’avez été séparé ou le serez. Sauf si vous l’acceptez dans vos pensées comme une Vérité. Alors Créateur, vous Êtes. Vous avez donc créé cette déconnexion inauthentique.
À vous d’effacer cette déraison. Entreprenez cela et votre souffrance s’en trouvera amoindrie.
Comment pouvez-vous envisager que Tout n’est pas Unifié ? Qu’un même corps composé d’éléments divers, variés peut penser ! « Ah non ! cette cellule-là, je n’en veux pas ! Je l’éjecte, l’évince de moi ». C’est fantaisiste !
L’unité vivante de base de tous vivants est les cellules, indissociables ! Tant et si bien que Nous sommes Inséparables !
Essayez d’en pratiquer l’extraction de votre physique. Renvoyer une cellule hors de votre composition humaine. Dites-moi, si vous réussissez !
Je vous souhaite un très beau réassemblage dans le Un correspondant à l’ensemble composé sans débranchement d’avec la globalité.
Dans l’Unité du Un, Nous sommes Tous. L’Unité des Maitres Akashiques.
Channel de l’Unité des Maitres Akashiques Marie Pierre AUBERT Thérapeute Holistique
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N’oubliez pas d’exercer votre discernement en rapport à ces textes. Vous avez Un Libre Arbitre, utilisez-le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre Cœur.
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Magnifique! Rien à rajouter à la vision de ce grand Tout, du Tout Un: je contemple avec émerveillement. Merci ♥️