Sagesse de l'Amour – Akasha – Philosophie – Métaphysique
Pensez-vous que les illusions puissent devenir réalité ?
Même s’il n’est pas facile d’en apercevoir ses préceptes !
Emprunté du latin illusio »ironie, illusion, tromperie ».
Dérivé d’alludere »faire allusion, se jouer de, jouer ».
Autrement dit : fausse apparence matérielle ou morale qui nous fait croire ou voir les choses autrement qu’elles ne sont.
Arrive l’erreur de perception !
Moi, l’Hermite 9 que puis-je vous dire !
Que vous me voyez en homme d’un âge avancé, un peu penché en avant, avec un bâton comme support dans la main gauche. Ce qui signifie ma longévité !
L’autre main porte une lanterne qui éclaire peu.
Dans le noir, il n’est guère facile de distinguer au-delà de chaque pas posé.
La voie est très étroite sans la vision de lointaines perspectives.
Comme il est dit, ne pas observer bien après le bout de son nez.
Le vieillissement fait peur !
Naissance de l’année 9 soit en langage des oiseaux : naît l’Essence de l’an né 9 !
Dans une ambiance feutrée, l’année 8 vit ses derniers instants.
Son cycle de douze mois s’achève dans des réjouissances.
Pendant quatre saisons, elle prodigue au collectif terrien, leurs désirs, leurs passions, leurs espoirs, leurs demandes ainsi que l’indifférence, les peurs, les répulsions, les illusions.
Cette distribution hétéroclite fut essentielle à l’entendement général.
Son rôle fut grandement rempli.
2024 devait montrer la composition conflictuelle qui règne mondialement.
Les bibliothèques des Mémoires. Dans le monde de la matérialité, la transmission des connaissances se notifie soit par l’oral ou l’écrit. Ajoutons aujourd’hui l’audiovisuel.
Nous savons que les paroles s’envolent, les écrits restent !
Dès lors, dans l’antiquité les personnes chargées de l’écriture de nouvelles officielles ou d’actes publics transcrivent les originaux sur divers supports. Comme l’argile, le papyrus, le parchemin, le papier.
Elles se nomment scribes ou copistes de manuscrits.
L’invention de l’imprimerie les fait disparaître peu à peu.
Cœurs tristes et yeux embrumés sont nombreux dans les rues d’aujourd’hui.
Les visages se marquent de rictus évoquant douleurs ou dépits.
À chaque fois, que je rencontre ces expressions, je leur souris !
Leurs mirettes me fixent intensément sans comprendre le pourquoi !
J’accentue la pétilliance de l’iris. Sa lumière vient les caresser.
Sous l’effet de ce câlin paisible, les lèvres s’étirent à leur tour.
La promesse de l’aube. Au-dessus de la Terre, la nuit. Dans cet espace-temps, l’opacité a recouvert de son manteau le pays endormi. Parfois, il y a des nuits d’encre en l’absence de l’astre d’argent, la Lune.
Heureusement, les filles de lumière, les étoiles, se présentent.
Puisque l’illumination du Soleil est complètement cachée par la Terre.
Cette période commence le soir au coucher du flambeau du monde.
L’agitation du jour laisse place au calme et au silence, hors de règles ou d’obligations imposées.
Mon ami préposé aux nuages. Au cours d’une promenade sur le port, sous le chapeau de paille rose, mes yeux abrités du soleil luisant détectent une présence connue.
J’aperçois une amie, Anne, jupe au vent, lunettes noires, marche dansante, s’approchait. Je souris.
Nombre de souvenirs se présentent.
Des rencontres aux ateliers de peinture sous l’égide d’une artiste suédoise, Solveig.
Des fêtes lors de nos expositions publiques dans le magnifique jardin de Martine.
Annick de Souzenelle. Le baiser de Dieu. Mes amis, vous venez d’apprendre mon départ pour une terre nouvelle, celle que j’ai toujours portée en moi.
Son nom : Connaissance de l’Amour.
Je l’ai étudiée de différentes façons, afin d’avoir un aperçu de sa Grandeur.
J’ai cheminé durant toute mon existence, sans trop savoir où ce voyage me mènerait.
La confiance s’est imposée à moi, comme une mère bienveillante qui m’accompagnait à chaque découverte.
Le parcours fut long et semé d’embûches.
