La transmutation de l’Être Je me rappelle lorsque j’existais dans un corps physique parmi vous les difficultés et les avantages vécus.
Ma vision était réduite et ne me permettait pas d’accéder à des ouvertures de conscience autres que celles qui sont terrestres. De cette ignorance découlaient des convictions qui me fixaient dans des limitations évidentes.
Aussi lorsque je côtoyais la mort de mes proches l’énigme se présentait dans une incompréhension profonde.
À quoi servait la Vie puisqu’un jour elle n’était plus vivante ?
L’adage entendu ‘’personne n’est revenu pour le dire’’ maintient ‘’la contrevérité’’ d’une fin.
Ceci constitue un motif valable de ne croire en rien puisque les Principes sont aléatoires et incertains. Les désaccords qui y règnent ne permettent pas à l’humain de se conforter dans les doctrines religieuses et sociétales puisqu’elles se disputent comme des chiffonniers.
Le Pouvoir domine encore et toujours.
Lorsque je ‘’laissais tomber’’ l’enveloppe de chair faite de muscles et de sang, pour entreprendre une différente découverte, je fus surpris de constater la légèreté d’ondulation de mon expression inconnue.
Je n’étais plus constitué de membres lourds et handicapants, je me déplaçais dans le mouvement délicat de l’espace, semblable à une plume qui plane.
Si j’avais conscience de mon physique corporel, je ne le sentais pas. Cette étrange sensation m’interpellait, de plus, j’avais une vision autre.
Comment expliquer, vous qui poursuivez vos expérimentations terrestres qu’elles ne sont pas les seules éprouvées dans cette composition humanoïde, sans que l’auteur qui divulgue de tels propos soit qualifié par un jugement drastique de non sérieux de votre part ?
Tant de révélations vous ont été mises au grand jour par des personnes qui ont vécu ce que vous appelez des morts imminentes. Elles ont touché d’autres aspects de la Vie et vous les ont communiqués.
Dans un passé lointain, le nom de ‘’résurrection’’ était donné !
Voyez que cela ne date pas seulement de votre modernité. Moi-même, j’y ai participé et y collabore encore.
‘’Je Suis’’ ce que vous ne pouvez appréhender dans vos pensées restreintes. De ce fait, vous me rejetez d’un revers de main, ne sachant que faire !
Laissez-moi vous demander « pourquoi, voulez-vous à tout prix que la Vie s’arrête à un moment précis » ? Pouvez-vous me l’expliquer ?
Votre confiance en l’expression vivante est très limitée !
Est-ce parce que vous constatez ses métamorphoses évolutives que cela vous fait présumer qu’après le pourrissement des choses il n’y a plus d’existence ?
Vos scientifiques ne vous ont-ils pas révélé que la Vie demeurait tout autant dans ce nouvel aspect ?
N’est-il pas temps de revoir vos croyances, qui sont immobilisées dans des peurs bénéfiques à certains et empêchent la libération à d’autres ?
N’est-il pas l’heure de vous affranchir de la victimisation de la Vie ?
Car c’est bien dans vos pensées, dans vos paroles et dans vos actes que vous maintenez cette affirmation irréelle de subir les faits que vous commémorez avec assiduité !
N’est-ce pas la période de célébrer dans la Joie les rencontres cachées dans votre visibilité ?
Tous les Êtres chers ne sont pas disparus.
Ils sont présents et vous ne les voyez plus.
Est-ce cela qui vous confirme leur non-existence ? Homme de peu de foi !
Nous avons beau vous le répéter, vous ne le croyez pas !
« Le non paru n’est pas significatif du non-être » !
Acceptez cette vérité et ouvrez-vous à la possibilité de dialoguer avec l’inaperçu qui est si vivant !
Que vos cœurs soient baignés de cette invisibilité joyeuse.
Channel de l’Akasha – Marie Pierre AUBERT Thérapeute Holistique
Site: http://akashaphilosophiempa.eu/
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N’oubliez pas d’exercer votre discernement en rapport à ces textes. Vous avez Un Libre Arbitre, utilisez-le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre Cœur.
Quel beau texte, tout en légèreté, » de la dentelle » autant dans le fond que dans la forme!
Merci
Fleur
Très chère Fleur, ton regard exprime la Beauté de ce que tu vois et ressens. Merci de nous le faire partager. Avec toute ma tendresse, Marie Pierre AUBERT